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Aprés la mort (2) page publique
Normalement il devait pas y avoir un 2 mais tout le monde change. Aprés la mort il peut, comme je l'ai déjà expliqué "rien", où alors comme je vais l'expliqué le "chaos". A mon avis, toujours, aprés la mort il peut y avoir le chaos. On ^peut trés bien ou passé dans la non-existence ou alors passé dans un monde emplis d'un immuable choas. Rien que le fait de pensée que je pourrait sombrer dans un sommeil éternel et que je puis, peut être, me réveiller dans un monde ou je passerais mon temps, cette éternité si longue, à essayait de me rappeller qui j'était avant de "dormir", me fait encore plus peur que de passé dans la non-vie, dans laquelle il n'y aurait rien. Quand je pense que je pourrait vivre, si on peut l'appeller comme ça, à rechercher une acuité perdue, j'en arrive à me demander si je peux toujours pensée que la mort n'est pas une vrai fin mais plutôt un repos calme et pésible. De toutes façons une fois mort qu'il n'y ait rien ou du choas, ça ne change en rien le probléme. Jamais nous ne saurons pourquoi tout est comme ça. Je dont je peux, pres que, être sûr c'est qu'une fois mort on est pour les vivants morts.
Mais sur ce point beaucoup de philosophes n'ont pas les mêmes idées par exemple J.Anouilh disait: "Mourir, mourir... Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long." Par contre Molière lui déclarait que: "Il est si doux de vivre. On ne meurt qu'une fois, et c'est pour si longtemps." Pour ma part je suis un peu d'accord avec les deux. Je suis, en tout cas, avec J.Anouilh il faut, avant de pensé à la mort, commencé par vivre. Mais la vie n'est-elle pas triste et douse à la fois. La vie peut être longue, la mort aussi ( ce n'est qu'une hypothése). Comme la vie peut être courte et la mort aussi. Mais ce qui est vrai c'est qu'on ne meurt qu'une fois. En tout cas je suis d'accord avec F.Mauriac: "Ce n'est pas la mort qui nous prend ceux que nous aimons; elle nous les garde au contraire et les fixe dans leur jeunesse adorable: la mort est le sel de notre amour; c'est la vie qui dissout l'amour." Il y a aussi du vrai dans ce que proclamait J.Giraudoux "La mort est si ancienne qu'on lui parle latin."
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