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L’orphelin et Le goéland page publique
Quand les roulements grognent d’un avion qui s’envole, Le jeune orphelin qui le voit derrière son carreau , Se dit en lui-même « vers quel pays il va- , quand il décolle « Le jeune homme lève les yeux, quand l’avion est haut .
Le jeune orphelin se retire et retrouve sa table et ses livres , Et relis les derniers mots inscrits sur une enveloppe . C’était les adieux d’un de ses proches ,qui ne peut plus vivre , C’est le rictus de sa lèvre qui ne rit plus ,c’est propre .
Les yeux ,toujours rivés sur la fenêtre, que l’avion s’est éloigné , il se met à rêver ;il se sentit assis comme sur un goèland , et les ailes déployées , qui vole sur une Atlantique ,une mer d’été , ou sur un automne ,dont les vents soufflent doucement .
Le courage de l’orphelin ,quand il se sentait sur le lointain , et les courbes de ce goéland qui tournoyait sur une mer houleuse. plein d’entrain , fougueux et léger à la fois, sur un fier océan , l’éveil d’un orphelin heureux auprès d’une dame frileuse .
Le regard fermé pour revenir sur le dos d’un très fier oiseau blanc, qui remuait au dessus des vagues pas trop fortes et légères, l’onde de l’eau de mer turquoise dont on voyait les coquillages blancs, et les belles baleines qui nageaient au fond de cette mer.
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